Dans le brouhaha médiatique habituel, des juristes de toutes épaulettes ont investi la toile pour expliquer le contenu et la portée des mandats d’arrêt internationaux décernés contre quatre de nos compatriotes. Ceux-ci sont suspectés d’avoir planifié et exécuté l’enlèvement d’un autre Béninois, faux ou vrai Frère Hounvi, en terre togolaise .
Autant l’acte incriminé que la réplique judiciaire de notre voisin de l’ouest, constituent des faits d’une extrême gravité. Pour sûr, le Bénin ne livrera pas ses citoyens à une justice tierce. Mais il faudra bien tirer au clair cette affaire de kidnapping. Et pour les suspects, il vaut mieux que ça se passe maintenant… sous la Rupture.
Tiburce