La fête de la nativité s’est affranchie de sa coquille religieuse et est devenue, sur les cinq continents, la célébration de l’enfance étouffée chez l’homme. Depuis le crime de Caïn, l’humanité, oppressée par l’oeil de sa conscience, cherche un refuge qu’elle essaie de trouver dans les symboles d’une crèche, d’une étable, des débonnaires Gaspard, Melchior et Balthazar.
Le père Noël n’existe pas. Bof ! Moins on y croit, plus on le célèbre. Le traineau, le sapin et la neige ? À 45 degrés sous les tropiques, ils sont en terrain conquis et personne n’oserait trouver à y redire. Le besoin d’enfance et d’innocence est irrépressible dans l’âme de l’homme déchu de l’Eden et du trône de la candeur. Bonne fête de Noël à toutes et à tous !
Tiburce















