Demain 12 avril, nous serons exactement à un an du premier tour de l’élection présidentielle au Bénin. Les prétendants au fauteuil de la Marina savent sans doute ce que représentent douze mois dans cette aventure. Douze mois, c’est 48 semaines. Disons plus précisément 48 week-ends, si on considère les moments propices aux meetings politiques.
48 week-ends pour rencontrer les Béninois, se faire connaître d’eux, partager sa vision de l’avenir, ce sera, a priori, du travail bâclé. Sauf que les paradigmes ont changé. Une élection présidentielle, ce ne sera plus la rencontre d’un homme et d’un peuple. Mais désormais celle d’une coterie politique et de ses affidés.
Tiburce