Une œuvre, divinement inspirée, du penseur et philosophe Alekpehanhou illustre fort bien les vibrations dégagées par le procès Boko – Homeky. “Aklunon hlouin mi” en est le titre, avec l’indulgence des lecteurs qui ne comprennent pas le fongbe. Ce n’est pas par défaut d’assurance et d’agilité que l’écureuil finit écartelé sur un grill à méchoui.
Faisons chaque jour les bonnes prières. Celles qui nous confient à la sagesse insondable de Dieu, qui nous évitent les ravins que notre acuité de mortels ne peut détecter, qui alertent sur le gouffre d’afflictions au bout du chemin enchanté. Celles qui révèlent la fin avant le commencement de toute chose. Amen !
Tiburce