Notre pays et son armée vaillante ont été durement éprouvés par les forces obscurantistes à nos frontières du septentrion. L’étendard sanglant du terrorisme s’est une fois encore levé contre nous. Mais le sacrifice de nos soldats ainsi fauchés ne doit pas disparaitre dans les écumes de l’oubli.
Jadis à son appel, dit le couplet, nos aïeux, sans faiblesse, ont su avec courage, ardeur, pleins d’allégresse, livrer au prix du sang, des combats éclatants. Voici venu le moment de nous ceindre les reins et nous tenir les mains par delà les cloisons du bocage, afin que nos morts ne soient pas morts. Enfants du Benin…debout !
Tiburce