Il y a quelque chose d’intrigant dans le très grand intérêt manifesté par nos sœurs pour les vidéos intimes du malheureux Equato-Guinéen qui inondent la toile depuis une semaine. Les fuites de sextapes sont habituelles sur internet et ne retiennent l’attention que le temps d’un basculement de l’actualité.
Mais il semble que nous sommes face à un phénomène d’un genre particulier. Le regard plein d’étincelles des femmes qui célèbrent sans complexe les “performances” du damné, est symptômatique d’une mutation rampante de notre société. L’affaire Balthazar n’en serait qu’un révélateur. Un volcan gronde.
Tiburce