Olofindji Razaki Babatunde a tiré sa révérence. Une grande page de l’histoire entreprenariale s’est tournée au Bénin. Tunde, c’était la passion, c’était le rêve parfois naïf, c’était l’engagement à corps perdu dans les causes qui lui paraissaient justes. C’était le capitaine d’industries touche-à-tout.
Il aura beaucoup embrassé. Peut-être mal étreint. Mais savait se relever de ses chutes pour repartir à l’assaut, sans rien perdre de son enthousiasme. L’effondrement de son empire a été ressenti par toute la communauté nationale. A commencer par nos bout’chous pour qui il incarna… Papa Mimoun. C’est à ce grand Beninois, éternel enfant, qu’il convient désormais de rendre hommage.
Tiburce