La soixante-dix-huitième assemblée générale des Nations Unies a offert un exutoire aux régimes putschistes africains mis au banc des accusés. Alors chacun d’eux y est allé de sa grande verve pour se justifier et essayer de se replacer dans le bon sens du cadran. Les réseaux sociaux ont amplifié ces prises de paroles emphatiques sur le continent africain.
L’histoire nous rappelle cependant que ce même pupitre des Nations Unies a déjà servi de rampe à des discours de leaders du tiers-monde plus charismatiques même si, très souvent hélas , c’est face à un auditoire clairsemé . Mais à l’arrivée, le bilan reste toujours le même. Rien ne change.
Tiburce