L’actualité nationale, mise en veilleuse par la crise au Niger, reprend progressivement ses droits. Et les thématiques n’ont pas vraiment changé : les guerres de cocus et de coépouses puis les mouvements migratoires de la faune au sein de la savane politique. La réforme du système partisan n’y peut rien. Les mœurs sont aussi solidaires que la peau sur les fesses.
La course vers 2026 se déroule en sprint chez certains, en marathon chez les plus avertis. Même le grand chef d’orchestre qui, pour l’instant, paraît ne pas s’en émouvoir, tient discrètement tout le décor à l’œil. Les leçons de la sous-région servent sans doute à peaufiner chaque jour les paramètrages. On n’est jamais trop prudent.
Tiburce