Passé le moment de la surprise et des condamnations de principe, les organisations sous-régionales ont embrayé sur la machine à sanctions vis-à-vis des putschistes de Niamey. La menace d’une intervention militaire de la CEDEAO pour rétablir le pouvoir défunt de Bazoum est évoquée dans la foulée. Option grave s’il en est.
Une actualité si brûlante et si proche de nous, n’a cependant pas encore inspiré la moindre prise de parole, le moindre communiqué à nos partis politiques. UPR, BR, LES DÉMOCRATES, MOELE-BENIN, UDBN… silence radio ! A croire que la réforme du système partisan ne les a toujours pas sortis de leur statut originel de… clubs électoraux.
Tiburce