Chaque fois que les administrations béninoise et nigériane filent la parfaite entente, la pègre et le marché noir transfrontaliers en paient le prix fort. La masse de pus qui s’installe et prospère dans les zones d’incompréhension entre les deux États s’expose à toutes sortes d’antibiotiques aux effets ravageurs. Les illustrations sont légion dans l’histoire des relations entre nos deux pays.
Pour heureux qu’il soit, le rapprochement entre Patrice Talon et Bola Tinubu livrera bientôt ses premières doses de fiel. L’addition tombera. Et c’est le cartel de l’essence Kpayô qui risque, le premier, de mettre la main au portefeuille. C’est, du moins, ce que je vois venir.
Tiburce