Les discussions de Genève entre la délégation ukrainienne et les représentants américains ont été jugées « pleinement satisfaisantes » par M. Rubio, selon qui plusieurs avancées auraient été enregistrées. Pourtant, du côté de certains partenaires européens et observateurs internationaux, l’incertitude demeure. Plusieurs plans, documents et propositions circulent déjà, alimentant rumeurs et spéculations. Alors que des versions évoquent 28 puis 26 points de négociation, les divergences dans les chiffres et les contenus interrogent sur la cohérence des informations en circulation et sur la transparence du processus.
D’autres parties impliquées dans le dossier se montrent plus prudentes. Elles insistent sur la nécessité d’un examen approfondi et de discussions plus structurées avant tout engagement définitif. L’annonce de l’existence d’un plan européen, jugé « non constructif » par certains protagonistes, ajoute une nouvelle couche de confusion à un contexte diplomatique déjà complexe. Faute de communication claire et de documents officiels transmis par les canaux appropriés, il devient difficile de distinguer les faits des spéculations. Pour l’heure, chacun reste campé sur ce qu’il voit, entend et reçoit officiellement, en attendant de véritables clarifications.
















