En multipliant les herses, les dos d’âne et les chicanes sur le parcours, le nouveau code électoral introduit, de fait, la notion de scrutin infructueux dans notre jeu politique. Surtout au niveau des élections législatives érigées en saut à la perche avec l’exigence des vingt pour cent dans chaque circonscription électorale.
La date du 11 janvier 2026, prévue par la CENA pour le scrutin législatif, pourrait n’être que celle d’une première tentative d’élection. Au cas où aucune liste ne franchit la barre des exigences, il faudra… retourner aux urnes. Le temps électoral deviendra alors élastique. Très… très élastique !
Tiburce