Le président ukrainien, porté à bout de bras par les grandes puissances occidentales depuis le déclenchement de la guerre, n’en mène plus large dans certains milieux médiatiques et même politiques du côté de ses alliés. Des enquêtes journalistiques de plus en plus osées se multiplient dans les tabloids américains pour déconstruire l’image de l’innocente victime qui allait si bien au dirigeant ukrainien. La Pologne refuse désormais de soutenir l’effort de guerre de Kiev.
C’est le moment de plaindre les intellectuels béninois, grands idéologues de l’infaillibilité occidentale, qui ont usé leur santé cardio-vasculaire dans des débats interminables sur les réseaux sociaux au début de cette guerre.
Tiburce