L’exécutif, selon son porte-parole, entend élargir la répression de la cybercriminalité à tous les complices des gaïmans dont notoirement… les parents. Très logique, a priori, que la démission de l’autorité parentale soit évoquée et même jugée au cœur de cette affaire dont les limites paraissent de plus en plus insondables.
Ensuite, espère-t-on, les pouvoirs publics feront leur mea-culpa, pour avoir, sur le terreau d’une classe politique médiocre, inversé pendant plusieurs décennies, le sens des valeurs, en laissant célébrer des contre-exemples dans des institutions républicaines. Cette jeunesse criminelle n’est pas sortie du néant.
Tiburce