Les équipes nationales féminines du Bénin changent d’appellation. D’Ecureuils, elles se muent en Amazones. On ne peut faire mieux pour un grand écart, même si la légitimité historique de cette nouvelle appellation n’est plus à démontrer. A l’épreuve, sur différents terrains de compétition, nos dames ont dorénavant le repère nécessaire pour se sublimer et, à défaut de victoires, faire preuve de combativité et de don de soi.
Pour sûr , on n’attendra pas un miracle immédiat de ce nouveau baptême . Encore faudra-t-il que les néopromues acceptent la vie d’ascète qui va avec ce lourd leg . Dans les armées royales du Danxomè, on ne devenait pas Agoodjiés du jour au lendemain.
Quant aux guépards… on en parle ?
Tiburce