Bonne nouvelle pour ceux qui n’aiment pas les ruptures ! Le président sortant du
Parlement béninois a composté à nouveau, avec succès, son ticket pour un second bail à la tête de l’Assemblée nationale. Ainsi Louis peut louer Dieu et qui de droit.
Il y a quatre ans, au début de la huitième législature, son avènement surprise à la tête de l’institution parlementaire fit ricaner les sceptiques qui parlèrent d’événement imprévisible tenant strictement du hasard. Louis n’avait alors jamais si bien porté son patronyme . Mais depuis hier, avec la réédition de l’exploit, il y a lieu de reconnaître, sans calembour, qu’il ne s’agit plus du Vlavonou. Un Tègbènou peut-être ?
Tiburce