Le président de l’UPR, Joseph Djogbenou, a donné de la voix. Il a dit son agacement face à un certain clientelisme dont ses militants seraient victimes, dans l’administration. Du tac au tac, l’accusé, le BR, retourne à son envoyeur, le délit de persécution politique.
A défaut d’une vraie opposition, on peut déjà se contenter de cette querelle de coepouses, avec le vœu ardent qu’elle monte en puissance. Pour l’hygiène démocratique.
Tiburce