Ablavi ne réussit pas à respecter son engagement. 100 rencontres de rapports sexuels, pour une moto neuve d’une valeur de 500.000 FCFA. C’est l’essentiel d’un accord conclu entre une jeune fille togolaise et un ressortissant nigérian spécialisé dans le commerce des pièces détachées auto-moto à Lomé, au Togo. Consentante au départ, la jeune fille dépassée par la virilité de son partenaire de circonstance, finit par jeter l’éponge au vingtième rendez-vous avec des séquelles.
Blessures vaginales, lésions cutanées au niveau de sa partie intime, Ablavi n’a pu continuer son aventure sexuelle avec le Ibo qui devrait satisfaire sa libido pendant une centaine de rendez-vous de parties de jambes en l’air contre une moto. Au bout de 20 rencontres, elle claque la porte et saisit un commissariat de Lomé pour obtenir gain de cause. Les consultations et analyses médicales présentées à l’officier de police révèlent de blessures graves, conséquences d’une forte intensité d’activité sexuelle. «Avant chaque rendez-vous, il se drogue», confie Ablavi qui réclame réparation.
«Elle a signé un contrat écrit», se défend l’homme en brandissant le document dans lequel il est stipulé que la jeune fille doit s’offrir à l’homme et obtenir une moto au bout de 100 fois.
Embarrassé, l’officier de police ne sait quelle décision rendre pour soulager sa compatriote qui refuse que l’affaire parvienne aux oreilles de ses géniteurs.
Selon notre source elle suit des soins dans une clinique à la suite des blessures contactées à sa partie intime. Sa requête d’obtenir un soutien financier pour se soigner n’a pas eu un écho favorable auprès du nigérian qui argue que le contrat ne fait pas cas d’un financement des soins. Il menace de saisir l’ambassade de son pays, si le contrat n’est pas respecté.