La chasse contre la sortie anarchique des vivres du Bénin se poursuit. Mardi 6 juillet, la police a saisi des tonnes produits vivriers à la frontière bénino-nigériane à Sèmè Kraké.
Trois tonnes de noix, une tonne de gari et 220 kilogrammes de haricots. C’est l’importante saisie faite par la police béninoise à Sèmè Kraké, mardi.
Les deux camions qui transportaient ces produits ont été interceptés par les éléments du commissariat de Sèmè Podji. Le but de ces arrestations est de résoudre le problème de cherté des prix des produits de première nécessité.
Le mercredi 16 juin, le gouvernement a décidé de contrôler la sortie des vivres du territoire national. Une première saisie a été faite dans l’Alibori, il y a quelques jours.
Que fait on des vivres après les saisies. Au lieu de saisie n’est-ce pas mieux de parler d’interpellation de véhicules transportant de produits? J’imagine en toute logique que les propriétaires sont verbalisés et injonction leur est faite de vendre sur le territoire national? Et puis à quel moment auront nous l’évaluation des résultats de cette campagne d’interpellations?