L’Association An-nour pour le Développement Social en partenariat avec la Fondation Iqra pour l’Education et le Développement a sacrifié à la tradition de communion avec les couches défavorisées cette année encore. Comme les années précédentes, dans le cadre de la célébration de la fête de la Tabaski, la plus grande célébration de la communauté musulmane, les membres de cette association humanitaire ont semé la joie dans les cœurs des Béninois. C’est à travers un agenda d’activités bien élaborées et catégorisées en trois types.
Le premier type d’activité a consisté à distribuer 200 paniers composés chacun de 5 kilogrammes de riz, de 3 boîtes de tomates de 400 grammes, trois kilogrammes de sucre, deux boîtes de lait concentré, un paquet de cubes et 3 litres d’huile. Ces paniers ont été distribués à 200 personnes à Parakou et à Kikparé à la sortie sud de la ville. Aussi des mets ont-ils été distribués aux plus démunis, notamment aux habitants des villages Bassira-N’kparou et Ganderou.
Le deuxième type d’activité pour ces humanistes était d’apporter une assistance aux orphelins comme ils en ont l’habitude à l’occasion des fêtes de Ramadan et de Tabaski ainsi qu’à l’approche d’une rentrée scolaire. Pour cette édition 2020, les orphelins des communes de Parakou, de N’dali, de Bembereké, de Gamia, de Kandi et Tchatchou ont reçu des vêtements de fête. Soit au total 170 orphelins à avoir bénéficié de cette assistance sociale de l’Association An-nour pour le Développement social appuyée par son principal partenaire, la Fondation Iqra pour l’Education et le Développement.
Pour le troisième volet d’action, les membres de l’association An-nour ont communié avec des communautés. Quatre-vingt dix (90) moutons et dix (10) bœufs sont immolés et la viande partagée aux plus démunis dans la ville de Parakou, à Kikparé, à Bassira N’kparou et Ganderou et au village de Wougararou ainsi qu’à Gamia, Bembereké et Pèrèrè.
À toutes les localités, l’ambiance était celle de la plus grande communion et de convivialité.
L. W. T.