La grande étoile de Mougnon s’est éteinte. Le père du rythme “alôkpè” s’en est allé, presque sur la pointe des pieds, laissant à la vaste communauté des consommateurs de ses œuvres, une trentaine d’albums qui sont autant de chefs-d’œuvre.
Somadjè Gbêsso, c’était un mélange inattendu de Brassens et de Coluche. Un humour grinçant qui savait mettre en épingle, des faits de société transformés, par son art, en tableaux inimitables. Son titre “Monlikoun” en est une illustration. Les virtuoses devraient être éternels.
Tiburce