Donald Trump a, en moins de trois mois de pouvoir, testé les limites de la plupart de ses promesses de campagne. Sur le dossier ukrainien, il se fait plus discret. L’annexion du Groenland ? Il ne parle plus que d’une offre de rachat. La volte-face est encore plus spectaculaire sur le champ de la guerre commerciale qu’il a déclarée au monde.
Son idée de transformer Gaza en une baie de milliardaires avec hôtels cinq étoiles et casinos après en avoir expulsé la moindre loque palestinienne, même son pote Netanyahou n’y croit pas. Mais Donald a une qualité : il sait retirer le doigt d’une mèche brûlante. C’est ce qui est demandé aux meneurs d’hommes. Savoir reculer face à l’impasse.
Tiburce